Disque Mélodies et Chansons Ravel avec Anna Cardona, paru le 16 octobre 2020
"La plupart des mélodies de Maurice Ravel réunies dans ce programme haut en couleur (locale ou psychologique) imposent à l’interprète une incarnation. Inutile de voir Victor
Sicard pour comprendre que c’est un excellent acteur. Le jeune baryton multiplie les métamorphoses vocales avec une efficacité qui confine à l’illusion magique. Anna Cardona,
son accompagnatrice, n’est pas en reste pour produire au piano des décors de circonstance. Dans la Chanson à boire de Don Quichotte à Dulcinée, elle brûle ainsi les planches
de la table d’une auberge espagnole sur laquelle son partenaire, ivre de conquêtes féminines, emporte le morceau dansé et chanté. Des Chansons madécasses aux Histoires
naturelles, tout est du même tonneau, théâtral et musical en diable."
Le Monde, Pierre Gervasoni, Octobre 2020. (disque de la semaine)
« Ce sens du théâtre, de la voix à la fois expressive et affûtée, trouve en Victor Sicard un interprète idéal. Si l’on voyage avec lui dans l’Europe des Chants Populaires, sur les
paysages de Ronsard et de Don Quichotte, c’est également grâce au piano versatile d’Anna Cardona qui sait suggérer, en quelques accords et accents, l’épique, le contemplatif,
voire l’animal ! »
Magazine Zibeline, Suzanne Canessa, Novembre 2020. (disque du mois)
Le baryton Victor Sicard est le protagoniste avec la pianiste Anna Cardona - avec Aurélien Pascal au viloncello et la flûte de Mathilde Calderini dans les Chansons Madécasses -
du bel enregistrement réalisé par le label français La Musica des cycles les plus significatifs de la production ravélienne offrant un parcours articulé à travers les séductions
sonoresallant du folklore à l'exotisme mais le tout ramené à une vision esthétique et formellement exemplaire. Sicard, grâce à sa large implication dans le répertoire baroque,
propose une interprétation basée sur une palette de couleurs riche en nuances, attentive au mot déjà compris en soi comme son. Dans Don Quichotte à Dulcinée les doux échos
espagnols sont rendus par Sicard avec des accents capables de toujours trouver le bon équilibre, tout comme dans les Chansons Madécasses disruptives où l'extase de "
Nahandove" et le cri désespéré de "Aoua" se retrouvent parfaitement avec cela de terrible et de très vrai «Méfiez-vous des blancs» qui a fait scandale. La voix brillante de Sicard
se plie docilement aux spirales du «Kaddish» et vibre avec confiance dans les Cinq chants populaires pour ensuite s'immerger dans les onomatopées des Histoires Naturelles et
dans les références archaïques des Cinq Mélodies populaires grecques. La clôture avec Ronsard à son âme et Sur l'herbe ramène à la méditation et ici Sicard cisèle cela avec un
phrasé plein d'intimité. Le dialogue avec le piano rêveur et très mobile - un Pleyel 1892 - d'Anna Cardona se transforme immédiatement en une osmose capable de créer un
équilibre parfait entre instrument et voix. Excellente prise de son qui maintient l'idée d'un espace intime.
Le Salon Musical, Alessandro Cammarano, Novembre 2020.
"Le Baryton Victor Sicard est en tous points surprenant, dans ce récital, sa voix ne connait aucune fébrilité, avec clarté et précision il nous enchante par son timbre si particulier.
Au piano Anna est parfaite accompagnatrice. Sensibilité et pudeur sont les maitres mots de cet album."
ClassiqueHD, Nicolas Roberge, Octobre 2020.
"Victor Sicard est baryton, Anna Cardona pianiste. Ces deux artistes encore jeune présentent un disque de Mélodies de Ravel. On aime à commencer par ces références
hébraïques, en ces temps de malheur. Et ce chant populaire grec? N'est-il pas le bienvenu? Laissez-vous bercer par notre mer à tous en compagnie d'un compositeur essentiel."
Médiapart, Frederick Casadesus, Novembre, 2020.
"Le jeune baryton français Victor Sicard présente son premier album solo, dédié aux pièces pour voix et piano de Maurice Ravel. L'interprète admet que, depuis ses débuts en tant
qu'étudiant en chant, il a toujours ressenti une dévotion particulière pour le compositeur français, reconnu notamment pour ses pièces symphoniques et ses deux opéras - L'heure
espagnole et L'enfant et les sortilèges -, mais peu apprécié pour son répertoire liederistique original. Ses pièces pour voix et piano sont fraîches et innovantes, avec des références
explicites à la musique populaire européenne, que Ravel reformule avec des harmonies raffinées et un langage simple et direct. Ainsi, sans la densité de Wagner ni le lyrisme bel
canto de son temps, le compositeur concentre son expression sur la musicalité du texte qu'il module comme une rhapsodie, accompagné d'un piano de premier plan. Dans la
romance particulière de Sicard avec Ravel, la pianiste Anna Cardona, épouse du baryton et pianiste de l'album, avec qui il forme une parfaite communion. Sicard, avec un timbre
soigné et tendre entreprend avec puissance les registres les plus engagés, comme dans le chant hébraïque de Kaddisch, qui oblige à maintenir une ligne mélodique
infinie aux accents grégoriens. Sicard possède également une diction française impeccable, qui met en valeur les inflexions d'une poésie
presque déclamée, par exemple, à partir des peintures musicales des Histoires naturelles. Sa maîtrise du texte renforce la brusquerie d'autres passages, comme dans "Aoua", qui
rappelle expressément l'Œuvre lyrique de Schoenberg. A souligner également les trois chansons de Don Quichotte à Dulcinée, dans lesquelles résonnent les
rythmes folkloriques espagnols et hispaniques des guajiras, habaneras et zortzicos que la mère du compositeur,issue d'une famille basque, lui chantait alors qu'il
était encore enfant."
Aniol Costa Pau, Opéra Actual, Novembre 2020.
"Victor Sicard s’inscrit dans une tradition de chant français dont il se montre par bien des côtés le digne héritier""Les deux groupes de mélodies « populaires » fonctionnent bien, surtout les grecques, où la jeunesse de la voix et le naturel de la diction coïncident idéalement avec les
thèmes et le style. Anna Cardona n’est pas en reste lorsqu’il s’agit de répondre aux sollicitations de Ravel qui ne relègue jamais le piano à l’arrière-plan."
Premiereloge-opéra.com, Laurent Bury, Novembre 2020.
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Requiem de Duruflé, Auditorium de Dijon, Orchestre Bourgogne-Franche Comté, 12/2019
"Faut-il préciser combien la voix de Victor Sicard pleine, chaude et idéalement projetée s’accorde à l’œuvre ?"
Forumopera.com, Yvan Beuvard
"Dans le “Domine Jesu” comme dans le “Libera Me”, le baryton français Victor Sicard déploie une voix pleine, aux phrasés justement ciselés, et ardemment
projetée"
Olyrix, Pierre Géraudie
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Platée de Rameau, Théâtres des Champs-Elysée, Les Ambassadeurs, 12/2019
"Victor Sicard (…) tire son épingle du jeu par un timbre enchanteur et une vraie élégance du chant"
Diapason Magazine, Loïc Chahine
"Le Momus de Victor Sicard est tonitruant dès son arrivée pendant la parade parodique du mariage de Platée. Également épris du parodique, le chanteur ne
perd cependant pas sa ligne et honore sa tessiture de taille avec des médiums réguliers et boisés."
Olyrix, Nicolas Mathieu
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Requiem de Campra, In exitu Israel de Mondonville, In convertendo de Rameau, Opéra de Lille, Philharmonies du Luxembourg, Essen, Cologne, Berlin, Chapelle de Versailles Auditorium de Dijon, le Concert d'Astrée, 11/2019
" La basse-taille est Victor Sicard. Sa plénitude comme sa puissance sont au service d’une expression souveraine (…) Le « Converte Domine » de Rameau, le « Qui convertit
petram » de Mondonville, où il dialogue avec le chœur, ses interventions dans le Requiem de Campra sont autant de moments de bonheur"
Forumopera.com, Yvan Beuvard
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Il Trionfo del Tempo e del Disinganno, Händel, Opéra de Tours, 10/2019
"L’équipe de chanteurs est au-dessus de tout éloge. L’enfant du pays Victor Sicard (le Temps) met son timbre clair au service d’une ligne vocale assurée et triomphe des périlleuses vocalises dont Haendel a émaillé sa partie, tout en offrant une caractérisation du Temps efficacement dramatisée, vocalement et physiquement"
Première loge, l'art lyrique dans un fauteuil, Stéphane Lelièvre
"Il faut quatre grands chanteurs pour interpréter ces figures et les pièges tendus par la partition (…) Victor Sicard a pour lui un charisme indéniable et son
chant mordant confère au Temps une force impressionnante. Le baryton dispose par ailleurs d’un très beau timbre et d’une diction impeccable qui donnent à cette prestation une évidente théâtralité.
ResMusica.com, Steeve Boscardin
"Bonne également la prestation de Victor Sicard -Tempo- baritenore capable de capturer la nature du personnage avec perspicacité l'interprétant ainsi avec une belle variété d’accents"
Le Salon Musical, Alessandro Cammarano
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Platée, Rameau, Royaumont, 09/2019
" Victor Sicard, révèle ses promesses dans la seconde partie : élève du Jardin des Voix de William Christie, il déploie une voix de baryton bien assise, naturelle au niveau de l’émission et surtout fort expressive.
Ôlyrix, José Pons
"Momus retrouvé dans la 2e partie, Victor Sicard réussit à nous faire regretter son absence dans la première. Cet élève du Jardin des Voix a de la présence en plus d’une émission naturelle."
Forumopera.com, Christophe Rizoud,
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Amour et Psyché, Mondonville. Avec Le Concert d'Astrée - Emmanuelle Haïm : 01/2019, Opéra de Lille:
" En deuxième partie, Victor Sicard rafle la mise avec une inénarrable furie à la Conchita Wurst, et une incarnation constamment percutante d’un bout à l’autre de sa tessiture",
Forumopera.com, Laurent Bury
"La présence scénique percutante et la voix agréablement charnue de ce jeune baryton constituent indiscutablement un des points forts de cette distribution",
BaroquiadeS, Bruno Maury
"Dans l’hilarant rôle de Tisiphone, le baryton rochelais Victor Sicard explose en déesse (transgenre) infernale, avec une voix aussi solide que parfaitement articulée." Classiquenews, Emmanuel Andrieu
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Il Terremoto, Draghi. Avec Le Poème Harmonique - Vincent Dumestre, 08/2018, Festival de Sablé-sur-Sarthe:
"On
connaissait déjà Victor Sicard pour l’avoir croisé ici ou là
avec William Christie: une fois encore, il aura brillé ce soir en
incarnant un Centurion extrêmement touchant, dont les états d’âme
le conduisent au fil du récit à douter puis à basculer du côté
de la croyance. Son chant, bénéficiant d’une belle projection et
d’un timbre des plus agréables, en fit l’un des protagonistes
les plus remarquables de la soirée".
ConcertoNet.com,
Sébastien Gauthier
"Victor
Sicard prête au Centurion sa voix de baryton claire et sonore, bien
projetée, aux accents énergiques et aux aigus chaleureux."
Ôlyrix,
Véronique Boudier
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Amour
et Psyché, Mondonville, Opéra de Dijon, 05/2018
"Comment
passer sous silence la tonitruante interprétation de Tisiphone par
le baryton Victor Sicard. Jambes nues, hauts talons, petite robe
noire, longue chevelure dorée, mais conservant barbe et moustache
gauloise, il joue et chante à la perfection la méchanceté de la
Furie, voire son sadisme dans la scène de l’enlaidissement."
Ôlyrix
par Paula Gaubert
"Victor
Sicard, dans la robe de Tisiphone, crayonne ses traits de caractère
troll avec autant d’intensité que son maquillage. L’excellence
du souffle, du placement et de la diction persiste en un vibrant brio
de chaque instant."
Opera Online par Thibault Vicq
"Victor
Sicard est flamboyant dans son incarnation de Tisiphone. Fort d’une
voix pleine et assurée, le baryton déploie un véritable sens du
jeu et de vibrantes intentions tout aussi exaltantes les unes que les
autres."
ResMusica.com par Charlotte Saulneron
"(On)
oublie vite (son costume) et (cela) n’interdit pas de goûter aux
qualités du chant de Victor Sicard. La voix est pleine, solide,
chaude et parfaitement articulée. C’est un constant bonheur
d’écouter la méchante déesse infernale"
Forumopera.com
par Yvan Beuvard
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Visitors
to Versailles, Kennedy Center, Washington, 04/2018
"Très
bonne défense de l'air "Ô Richard, ô mon roi" par le
baryton Victor Sicard pour la présentation de Richard Coeur de Lion.
Sa voix robuste se mélangeant bien avec les deux flûtes. Plus
tard, Sicard a soulevé le hall avec une colère divine dans "je
sors de mes grottes profondes"
Washington
Classical Review par Charles T.Downey
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La Passion selon Saint-Jean, Opéra de Massy, Théâtre imprérial (Compiègne), Théâtre de Suresnes, Festival de l'Epau, Festival de Vézelay, Opéra de Vichy, Festival Sinfonia en Périgord, 08/2016
"Jésus et la basse chantante sont donc ici confondus : dommage que l'acteur principal de la Passion ne puisse être distingué de l'un de ceux qui la commentent. Quoi qu'il en soit, il suffit que Victor Sicard ouvre la bouche, dans l'une ou l'autre de ses attributions, pour que tout regret s'évapore. Il n'a pas trente ans, et arbore déjà des états de service conséquents et éclectiques. Pousse émérite du Jardin des Voix de William Christie, nanti d'un métal riche, sonore et plein de mordant, le Français prête dans un allemand exemplaire une attention extrême au mot (sans jamais tomber dans l'analyse de texte). Ainsi compose-t-il un Sauveur tout en modelé et inflexions, douloureusement humain ; tandis que ses airs – Eilt, ihr angefocht'nen Seelen surtout – mettent à nu une technique accomplie."
Jacques
Duffourg Müller, BaroquiadeS
"... la prestation poignante de la basse Victor Sicard, remarquable de précision et de rondeur vocale dans l’air du Golgotha"
Suzanne
Gervais, la lettre du musicien.
"Et le personnage de Jésus (Victor Sicard, qui chante également les airs de basse) échappe à la componction religieuse coutumière pour vivre ses répliques, bien servi par une voix ample et noble."
Jacques
Bonnaure, La lettre du musicien.
"... Interprétation mémorable du baryton Victor Sicard qui offre un chant tout à fait touchant, spiritoso."
Sabino Pena Arcia, Classique News.
"Solide et totalement idiomatique, le Christ de Victor Sicard se révèle tout aussi à l'aise dans les airs de Basse de la partition"
Frédéric Norac, Musicologie.org
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Partenope,
Théâtre des Champs-Elysées, Théâtre Carré (Amsterdam), Baluarte
(Pamplune), Philharmonie (Essen), Auditorio Nacional (Madrid) Il
Pomo d'Oro, Maxim Emelyanychev, 01/2016
"... sa voix de baryton est fantastique. Ses ornements sonnaient magistralement bien. En outre, il était ferme dans son personnage"
Rudolf
Hunnik, Opéra Magazine (Hollandais)
"...Et Victor Sicard fait de la partie de baryton d'Ormonte une expérience de chant de première classe"
Werner
Häußner, Der Westen
"...Il arrive parfois ,quand on se rend à l'opéra, que l'on croise la route d'un jeune artiste qui promet énormément; cela vaut alors le coup de se donner la peine d'aller à l'opéra! Ceci s'est produit aujourd'hui avec l'Ormonte de Victor Sicard. Il est un jeune et brillant baryton avec une technique fabuleuse. Dans son air de l'acte I, il nous a donné des ornementations hilarantes qui défiaient les lois de la gravités. Sa diction est impeccable et on trouve dans son chant cette rare musicalité qui ne peut être enseignée. Il est, indéniablement, un chanteur à suivre."
Operatraveller
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La
nuit de Louis XIV, Chateau de Versailles, Les Arts Florissants, W.
Christie, 06/2015
"...Dans ce joyeux désordre de sarabandes et de choeurs dispersés, la Cérémonie des turcs, animée par Victor Sicard, chanteur d'un enthousiasme de forcené, est un moment d'antologie."
Thierry
Hillériteau, Le Figaro
"...la meilleure partie fut certainement la «Cérémonie des Turcs» tirée du Bourgeois Gentilhomme, où Victor Sicard et les voix masculines du chœur des Arts Florissants furent superbes, jouant sur les onomatopées, les cris, les gestes, lançant des Ioc! terrifiants"
Sébastien Gautier, ConcertoNet.com
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M-A.
Charpentier: La Descente d'Orphée aux enfers, Opéra de Lille, Opéra
de Dijon, Concert d'Astrée, E.Haïm, 03/2015
"...Victor
Sicard nous donne un bel Apollon à l’émission chaude et
pleine, toujours intelligible."
Yvan Beuvard, Forumopera.com
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J.
Strauss: Die Fledermaus, Linz Landestheater, 12/2013
"... Le rêve d'une vengeance soigneusement mûrie du Dr Falke trouve dans Victor Sicard un interprète exceptionnel qui n'a pas seulement quelque chose de touchant, une belle voix de baryton, mais aussi à l'intérieur une colère continue bouillonnante qui se développe tout au long de la pièce avec un climax au moment de son "ami liiiieber" Gabriel. Falke était soigneusement contrôlé, habilement éxécuté, bien joué en toute sérénité mais aussi avec tout son sens - peut briller."
H
& P Huber, Online Merker
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Le Jardin de Monsieur Rameau: Jardin des Voix/Les Arts Florissants, William Christie. 2013
"... Des six interprètes, la meilleure impression émanât du baryton français Victor Sicard avec une voix au timbre bellissime et noble surtout dans l'air de Dardanus, "Monstre affreux", créant ainsi l'un des moments les plus magiques de la soirée; nous lui souhaitons une belle carrière que nous suivrons de près."
Hugo Cachero, Codalario.com
"... Le baryton Victor Sicard nous a saisi de tristes méditations. C'était le passage du spectacle le plus impressionnant. C'était le dernier d'une série d'airs de baryton mélo-dramatiques; "Monstre affreux" de Rameau, harmoniquement expressif demandant du beau chant moderne"
P.Pospelov, Vedomosti
"...Mlle Renard et M. Sicard étaient particulièrement exceptionnels"
Corinna
da Fonseca-Wollheim, The New York Times
"...fort en caractérisation, j'ai trouvé la voix chaude de baryton de Victor Sicard saisissante dans "Monstre Affreux"
Nicolas
Nguyen, Bachtrack
"...Ce sont cependant les deux voix graves masculines, en raison peut-être du fait que le français est leur langue maternelle, qui ont fait la plus grande impression. Autant la basse Cyril Costanzo que le baryton Victor Sicard compteront sans doute parmi les grands interprètes de demain"
Pierre Degott, resmusica.com
"...Victor Sicard a reçu des bravos pour son interprétation du "Monstre affreux" du Dardanus de Rameau et était un Silvandre convaincant dans l'Europe galante d'André Campra."
Stephen Raskauskas, Bachtrack
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Britten: A Midsummer Night's Dream, Barbican Theatre, 05/2012
"... Victor Sicard était un impressionnant et solide Demetrius"
Opera Magazine
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Nicolai: Die Lustigen Weiber von Windsor, Guildhall School, 11/2011
"...La jalousie jouait un rôle important et les plaintes de Herr Fluth étaient chantées de façon impressionnante par Victor Sicard lors de la première"
Michael Tanner, Spectator
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Donizetti:
Rita/ Tchaikovsky: Iolanta, Guildhall School 06/2011
"... Sa plaisante voix de baryton etait immediatement évidente dans son premier air ' la mia casa per modelo",
Mark
Pullinger
"La voix chaude de baryton de Victor Sicard allait parfaitement bien avec le rôle du premier mari et exhaltait l'action pour un grand effet dramatique"
Hilary Fisher, Bachtrack
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